Quand je vous le dis :
par Martine Montémont
« On ne manque pas la rétrospective André Cayatte le champion du cinéma social. Du temps où Gabrielle Russier, la prof amoureuse de son élève n’avait rien pu faire d’autre que de « Mourir d’aimer ». Soit dit sans le moindre esprit de jugement. »
Il y a eu le « Le Bon, la Brute et le Truand » quand s’est tenu il y a 10 ans, le premier Prix Lumière à Lyon et que le grand Clint Eastwood a reçu les hommages du premier Festival Lumière qui a déjà accueilli de formidables pointures du cinéma international...
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C’est Francis Ford Coppola le réalisateur du « Parrain » et du dantesque « Apocalypse Now » qui sera célébré du 12 au 20 octobre entre Saône et Rhône avec principalement une nuit cinéma « La Nuit du Parrain » à la Halle Tony Garnier le 19 octobre.
Ce festival pas comme les autres puisqu’il est sans palmarès permet aux vrais amoureux de cinéma de revoir des chefs d’œuvre du cinéma international dans de nombreuses salles dans et autour de la ville et en présence de gloires du cinéma venues là tout exprès.
Le patrimoine est si énorme que la programmation s’offre le luxe de ne jamais faire de remplissage en étant contrainte d’ aller chercher des thèmes plus ou moins improbables. Encore un exemple cette année avec « Chaplin en Ciné-concert » en matinée à 15h le 13 octobre à la Halle Tony Garnier.
En ce 10e anniversaire, le festival Lumière crée Lumière Classics, qui met en valeur les plus beaux films restaurés de l’année. Comme « La Roue », le dernier film muet français réalisé par Abel Gance en 1923. Il dure 7 heures et sera présenté en 2 parties.
L’an prochain, le prix Lumière, parité oblige, devrait être décerné à une actrice, une réalisatrice, un grand nom féminin du cinéma. Qui après Catherine Deneuve et Jane Fonda ? La barre est très haute, mais il y a encore du monde !