Quand je vous le dis :
par Martine Montémont

 

 
« Autres gauloiseries à ne pas manquer sur ce site dont l’exposition permanente retrace l’histoire de la célèbre bataille d’Alésia, la ville gallo-romaine reconstituée, les ateliers MuséoFab pour apprendre les techniques anciennes du tissage, de la vannerie, de la cotte de mailles, du cuir et de la céramique (pendant les vacances de la Toussaint) et l’expo « Alésia en Playmobil » du 19 octobre au 3 novembre. Le parc est ouvert jusqu’au 30 novembre 7 jours sur 7 »

 


Non, nos ancêtres les Gaulois n’étaient pas des êtres frustres et épais physiquement et intellectuellement...

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Les archéologues qui viennent de se pencher sur l’artisanat du verre gaulois qui est à l’origine de l’exposition.« Bling-Bling ! Le verre gaulois s’affiche »,  au MuséoParc d’Alésia jusqu’au 22 septembre peuvent affirmer que le beau Vercingétorix - dont la statue monumentale haute de 6,60 m et posée sur un socle de 7 m, en granit de Saulieu et calcaire de Pouillenay, dessinée par l’architecte Eugène Viollet-le-Duc se dresse à l’entrée du parc bourguignon, - se parait certainement de bracelets et sans doute de couleur bleue.

Le verre dans la parure gauloise apparaît au Ve siècle avant JC et seuls les Gaulois en maîtrisent la technique pour fabriquer des bracelets.

Ils sont élaborés à partir de sable, soude, calcaire et du Cobalt pour la couleur bleue, guerrière entre toutes et honnie des Romains et des Grecs qu’ils trouvaient excentrique et barbare. La meilleure des raisons pour l’affectionner.

L’expo présente des parures en verre gauloises exceptionnelles et les méthodes pour transformer les sables égyptiens et jusqu’aux objets créés par les actuels verriers du Nigeria.

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