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Quand je vous le dis :
par Martine Montémont

 

 
« À explorer aussi la microferme en agroécologie et inspirée par la permaculture de la Bourdaisière. Les 400 variétés du Dahliacolor et le verger d’arbres fruitiers qui comporte 70 variétés anciennes. »

 


Depuis que l’on s’est rendu compte que même si on trouvait désormais des tomates toute l’année, la saison ne durait en fait que du début de l’été au milieu de l’automne, on s’intéresse avec davantage de bienveillance à ce fruit venu du Pérou en tout cas d’Amérique du sud et on choisit mieux ses variétés...

Sauf que, depuis quelques temps, on se met à nous vendre de fausses tomates anciennes, puisqu’on a l’air d’aimer ça. On n’en sortira décidément pas !

C’est une des bonnes raisons pour se rendre au Festival de la Tomate qui se tient les 8 et 9 septembre au Château de la Bourdaisière en Val de Loire, mais à moins d’une heure de Paris en TGV.

Comme chaque année, on abusera des tomates au bar à tomates avec des plats simples et savoureux et on se désaltérera au bar à jus de ceux des fruits et légumes du grand jardin.

Des dizaines d’exposants participent à la présentation de nombreuses variétés et on peut même en profiter pour faire ses emplettes. Et devenir incollable sur le sujet en observant les 700 variétés du Conservatoire National de la Tomate ouvert jusqu’au 15 novembre, initié en 1993 par Louis Albert De Broglie, très justement surnommé « le Prince jardinier ».