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Même quand on va nous annoncer que la période de grand froid est passée, c’est à dire quand il fera 0° la nuit et 4° le jour par exemple et juste avant les premiers départs en vacances de février (ce vendredi), c’est dans les allées des musées qu’il fera bon flâner pour se réchauffer l’âme et le corps...

À Lyon, qui se remet tout juste de la déferlante des chefs du monde maintenant que le Sirha a fermé ses portes, les passionnés et les professionnels de l’écriture, de la typo et de la poésie des polices de caractère, ont jusqu’au 12 février pour découvrir « Typo, 30 ans de création à l’Atelier national de recherche typographique »  au musée de l’Imprimerie et de la Communication Graphique.

Jusqu’au 5 mars pour admirer les « Corps Rebelles » au musée des Confluences. Une exposition sur l’histoire de la danse au 20ème siècle et une invitation à comprendre la danse contemporaine comme un langage universel. Elle s’articule en 6 grands thèmes dont « Lyon, une terre de danses » qui rappelle que c’est dans la ville que s’est ouverte la première Maison de la Danse.

Et c’est de « Mariages » tout simplement qu’il est question aux Archives Municipales de Lyon jusqu’au 25 mars. Dans une ville dans laquelle les créateurs de robes de mariée comme Max Chaoul ou encore Nicolas Fafiotte, le couturier des Miss France, ont toujours été très nombreux. Christian de Courcel ayant ouvert la voie en 1968 et jusqu’en 1997.

Il y est question du mariage très politique d’Henri IV avec Marie de Médicis le 17 décembre 1600 en la cathédrale Saint Jean et de mariages de toutes époques qui ont marqué la ville.