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Quand je vous le dis :
par Martine Montémont

 

 
« Pour profiter à fond des charmes de l’hiver québécois et se régaler par exemple à la table des quelques 45 chefs mis en valeur à l’occasion et des habitudes à la fois étonnantes, fort judicieuses et pleines d’humour de certains d’entre eux comme Jason Morris, le chef du Restaurant Pastel qui dit « Je n’ai pas de frigo [à la maison]. L’hiver j’ai une corde et je mets les choses par la fenêtre parce qu’il fait froid dehors… » Montréal en Lumière a lieu du 21 février au 3 mars. »

 


Parce que les voyages thématiques ont de plus en plus de succès et que, sans tomber dans le voyage organisé millimétré, les villes et pays touristiques disposent d’un catalogue d’activités découvertes de plus en plus conséquent....

On peut en profiter, par exemple, pour suivre les traces des tournages qui ont eu lieu à Montréal.

D’autant qu’ils sont fort nombreux, les frais de tournage s’avérant moindres que ceux pratiqués aux États-Unis. Mais surtout, Montréal étant une ville relativement jeune, des quartiers entiers sont architecturalement inspirés des contrées d’origines des différents migrants.

On peut ainsi dans le Vieux Montréal disposer de décors qui ressemblent à s’y méprendre à Londres, Berlin ou Washington. De grands réalisateurs comme Spielberg ou Zemeckis ne s’y sont pas trompés.

C’est ainsi que l’Hôtel de Ville a servi de doublure à un grand hôtel parisien dans un des volets d’X-Men, à une salle d’audience dans Aviator et dans le Jour d’Après.

Plus récemment, dans « La chute de l’Empire américain » de Denys Arcand qui vient tout juste de sortir, Montréal, davantage qu’un décor est presque un personnage à part entière.

La rue Saint Paul joue les rues parisienne ou russe dans l’Étrange histoire de Benjamin Button et les parcs montréalais comme le Mont-Royal ont très souvent enfilé le costume de Central Park à New York.